Avec une passion contagieuse pour le DevOps, Chay se distingue chez dbi services. Dans une approche unique, mêlant innovation, vision prospective et une pointe d'humour, il évoque sa trajectoire professionnelle et les joyeusetés du métier. De ses premières expériences avec Docker Swarm à ses échanges enrichissants chez dbi, Chay incarne une nouvelle génération de consultants DevOps, visionnaires et résolument tournés vers le partage.
Pouvez-vous expliquer de manière générale votre rôle, vos missions ?
Je travaille en tant que consultant DevOps depuis bientôt deux ans chez dbi services. J'ai rejoint l'équipe qui avait déjà un noyau dur composé d'Arnaud, Jean-Philippe et Nicolas Meunier.
Pourrais-tu nous expliquer globalement ton rôle, tes missions et choisir trois mots qui les caractérisent ?
J'occupe le poste de Consultant DevOps depuis maintenant presque deux ans chez dbi services. Je suis arrivé pour compléter l'équipe déjà composée d'un noyau dur avec Arnaud, Jean-Philippe et Nicolas Meunier.
Si je devais décrire mon rôle ou le DevOps dans son ensemble, trois mots me viennent à l'esprit :
Premièrement, "innovation" : nous avons la chance de travailler sur des produits et des technologies innovantes qui évoluent en permanence, tout comme les partenaires avec lesquels nous travaillons. Par exemple, j'ai commencé à travailler sur Docker Swarm, mais aujourd'hui, la conteneurisation se fait sur Kubernetes.
Deuxièmement, je pense que "Vision" est un terme approprié lorsqu'on pense et met en œuvre le DevOps. D'une certaine manière, le monde du DevOps nous pousse à repenser le travail d'un ingénieur système. C'est une évolution du métier dans laquelle nous devons savoir nous projeter pour optimiser les tâches récurrentes et fiabiliser les outils avec lesquels un produit est livré et soutenu.
Le troisième mot qui me vient à l'esprit est "Fun". Ce qui ressort des échanges et des conversations dans le monde du DevOps, c'est que c'est un métier amusant. Je partage cette opinion, je trouve qu'on prend énormément de plaisir. Il y a vraiment une volonté de s'amuser dans le travail tout en étant très pointu. Cela se traduit par les produits, le marketing des logos et les commandes utilisées, par exemple.
Que préfères tu dans ton travail ?
J'ai une approche très cartésienne et mathématique, il y a deux choses que j'apprécie particulièrement dans mon travail : comprendre et transmettre. Partager est naturel chez dbi services, que ce soit avec les collègues ou avec les clients.
Je déteste le sentiment désagréable de laisser un sujet en suspens, sans le comprendre entièrement. C'est donc très important pour moi d'aller jusqu'au bout des explications.
Si tu devais prodiguer un conseil aux nouvelles recrues ?
Peu importe votre poste, ne vous inquiétez pas pour votre intégration. Tout sera mis en œuvre pour vous accueillir dans les meilleures conditions et vous serez accompagné tant sur le plan technique que managérial. Les gens sont bienveillants et auront soif de partager avec vous.
"Quelle que soit votre position, ne vous préoccupez pas de votre intégration.
Tout sera mis en œuvre pour vous accueillir dans les meilleures conditions possibles"
Quelle est ta meilleure anecdote de réunion ?
Alors, je vais te raconter comment j'ai connu dbi services (rire). J'ai croisé Arnaud il y a quelques années, lors d'une de ses missions de consultant dans une entreprise où je travaillais. Je ne travaillais pas directement avec lui, mais j'ai été stupéfait par les retours positifs que j'ai reçus concernant son niveau d'expertise technique. Je ne savais même pas qu'il travaillait chez dbi services à l'époque, ce n'est que plus tard que j'ai fait le rapprochement. Dès que j'ai appris cela, j'ai fait ce qu'il fallait pour rejoindre son équipe et aujourd'hui nous sommes collègues.
De même, j'avais entendu parler d'un "gourou" hyper compétent dans son domaine, c'est en arrivant chez dbi que j'ai réalisé qu'il s'agissait de Daniel Westermann (rire).
Si tu pouvais te glisser dans la peau d’un collègue le temps d’une journée qui serait-il ?
Je dirais que je me mettrais à la place de Pierre-Yves et Pascal pour la partie commerciale. Échanger sur les besoins des clients et observer comment le business se développe seraient des choses qui me plairaient énormément.
Si tu avais une lampe d’Aladdin, quels vœux ferais-tu ?
Mon plus grand souhait serait de faire découvrir à mes enfants les merveilles de ce monde. J'ai eu la chance de beaucoup voyager avant leur naissance et je rêve de partager avec eux tout ce que j'ai pu voir et apprécier à travers les différentes cultures et les personnes que j'ai rencontrées. Je pense que c'est un désir naturel de vouloir transmettre à ses enfants ce que l'on a apprécié, tout en leur donnant la liberté de se développer à leur propre rythme.
Quelles sont tes passions ?
Je suis un grand passionné de football. J'ai commencé à pratiquer ce sport dès que j'ai été en âge de marcher. Je fais partie de cette génération de passionnés qui ont même joué avec des ballons de tennis à défaut de solutions immédiate (rire). Tout l'attirail du passionné, allant du fameux ballon avec les panneaux enlevés aux chaussures trouées par le macadam (rire).
Quel est ton film ou ta série préférée ?
Sans hésitation, je suis un fan inconditionnel de la trilogie "Retour vers le futur". Mon entourage le sait bien. Je ne tolère aucune critique, même constructive, sur cette œuvre (rire). Je trouve l'idée d'agir sur le présent et de connaître le futur absolument géniale.
Si tu devais choisir un mentor qui serait-il ?
Je n'ai pas vraiment de mentor en particulier, mais je suis plutôt inspiré par une philosophie, celle de suivre sa propre voie. Cela peut être comparé à "son nindo" dans le manga Naruto. L'idée est que chacun peut être son propre héros en se positionnant à un moment donné et en prenant une perspective différente.
Que penses-tu de Sequotech ?
Je suis très intéressé par l'évolution de Sequotech. Comme tu le sais probablement, les fusions ne sont pas toujours bien accueillies, mais dans ce cas précis, je vois beaucoup de choses positives pour dbi services ainsi que pour UDITIS. Pour moi, il s'agit vraiment d'une logique de partenariat et j'ai eu la chance d'avoir de très bonnes expériences avec le CSEM grâce au support d'UDITIS sur la technologie Kubernetes.
Il semble également qu'il y ait d'autres projets en cours. Il est maintenant important de déterminer nos spécificités en termes d'expertise et de continuer à échanger et à nous valoriser.